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Interview étude anti-fraude avec Marc de Beaucorps, Marie Lottier et Christopher Larrondo 

A l'occasion de la sortie de notre étude anti-fraude, Marc de Beaucorps, CEO de Finovox reçoit Marie Lottier, directrice marketing et Christopher Larrondo, directeur commercial. Ensemble, ils évoquent les résultats de cette enquête. Pour avoir un aperçu de cette interview, ouvrez cet article !

La fraude documentaire est un défi majeur pour de nombreuses industries, impactant non seulement les finances des entreprises mais aussi leur réputation et la confiance de leurs clients. Notre toute nouvelle étude, réalisée par un institut de sondage indépendant, Selvitys, offre des révélations captivantes sur les tendances actuelles de la fraude. Pour l’occasion, Marc de Beaucorps a reçu Marie Lottier, directrice marketing chez Finovox et Christopher Larrondo, directeur commercial. 

Pourquoi une étude anti-fraude ?

Pour souligner l’importance de la lutte contre la fraude documentaire et afin de comprendre la nécessité de se protéger contre ces tentatives, Finovox a pris l’initiative de réaliser une enquête approfondie.

Que révèle-t-elle ? 10,8 % des Français déclarent avoir fraudé via un document.

Dans cet épisode exclusif du Canap’ anti-fraude, Marc de Beaucorps accueille Marie Lottier Directrice Marketing chez Finovox et Christopher Larrondo, Directeur Commercial. Ensemble, ils discutent des résultats de l’étude. 

Nombre de Français qui déclarent avoir fraudé, types de documents falsifiés, secteurs les plus touchés ou encore estimation du chiffre d’affaires impacté, découvrez tous les chiffres clés de la fraude documentaire dans cette interview ! 

Etude anti-fraude : un avant-goût avec quelques chiffres clés 

En 2024, Selvitys révèle que le montant moyen de la fraude s’élève à 460 euros. Cependant, ce chiffre varie significativement selon les secteurs. 

Dans le milieu de l’assurance, il s’élève à 570 euros alors qu’il atteint 4 200 euros dans le secteur bancaire. Marie Lottier, responsable marketing chez Finovox, souligne la sous-estimation des chiffres déclarés. Elle l’explique par l’aspect déclaratif de l’étude : les sondés n’ont pas osé déclarer le montant fraudé par peur des répercussions. 

Par exemple, 12 % des répondants admettent avoir fraudé en assurance, contre 5 % en banque. Ces taux pourraient, en réalité, être beaucoup plus élevés.

Secteurs et documents concernés par la fraude documentaire 

Notre étude met en lumière les secteurs les plus vulnérables à la fraude documentaire. Nous les avons répertoriés en 3 catégories principales :

  • La fraude du quotidien, avec 54 % avec de documents modifiés 
  • La fraude immobilière, avec 43 % avec documents modifiés 
  • La fraude bancaire, avec 38 % de faux documents

A travers cette enquête, nous avons également voulu mettre en avant les documents les plus falsifiés selon chaque secteur. Nous retrouvons alors globalement les mêmes supports que ce soit pour l’assurance, l’immobilier ou la banque : les pièces d’identité et les fiches de paie

Dans cette interview Christopher Larrondo tient à préciser que plus de 55 % des fraudes documentaires se produisent en ligne, soulignant l’importance cruciale de la cybersécurité. 

Les conséquences de la fraude 

Un point non négligeable évoqué dans cette interview est que presque 69 % des individus ne connaissent pas les conséquences de la fraude documentaire. 

De plus, 82 % des personnes interrogées estiment que la propension à frauder est plus élevée qu’il y a 15 ans.

Vous vous demandez pourquoi ? Nos interviewés en parlent ! Rendez-vous en bas d’article. 

Vous souhaitez en apprendre davantage sur les chiffres liés à cette étude ? Allez écouter les principaux intéressés en discuter. C’est par ici 👇

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